Vaccins à ARN messager : La nouvelle frontière

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<h1>Vaccins à ARN messager : La nouvelle frontière</h1>
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<p>L’acide ribonucléique messager (ou ARNm) a été découvert dans les années 1960 mais est plus que jamais en vogue parmi les fabricants de vaccins en raison de sa flexibilité et de sa capacité d’adaptation aux <a href="https://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/health/disease/">maladies</a> infectieuses émergeantes.</p>
<p>Les scientifiques cherchent à présent à comprendre quel rôle l’ARNm pourrait éventuellement jouer dans la lutte contre des maladies qui, depuis longtemps, représentent un fardeau pour les communautés les plus démunies du monde.</p>
<p>Ce dossier fait la lumière sur le développement de vaccins à ARNm pour le trio incontournable de maladies infectieuses responsables du plus grand nombre de morts à travers le monde : la <a href="https://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/health/tb/">tuberculose</a>, le <a href="https://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/health/malaria/">paludisme</a> et le <a href="https://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/health/hiv-aids/">VIH/SIDA</a>.</p>

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L’acide ribonucléique messager (ou ARNm) a été découvert dans les années 1960 mais est plus que jamais en vogue parmi les fabricants de vaccins en raison de sa flexibilité et de sa capacité d’adaptation aux maladies infectieuses émergeantes.

Les scientifiques cherchent à présent à comprendre quel rôle l’ARNm pourrait éventuellement jouer dans la lutte contre des maladies qui, depuis longtemps, représentent un fardeau pour les communautés les plus démunies du monde.

Ce dossier fait la lumière sur le développement de vaccins à ARNm pour le trio incontournable de maladies infectieuses responsables du plus grand nombre de morts à travers le monde : la tuberculose, le paludisme et le VIH/SIDA.