28/10/15

Le nouveau président de la BAD face au déficit d’énergie en Afrique

Par: Herman Houngbo

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<h1>Le nouveau président de la BAD face au déficit d’énergie en Afrique</h1>
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By: 
	
		
			
				Herman Houngbo
		
	
	
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<p>Nouvellement arrivé à la tête de la Banque africaine de développement (BAD) où il a pris fonction en septembre dernier, le Nigérian Akinwumi A. Adesina a d’ores et déjà annoncé les couleurs de ce qui va être sa priorité à la tête de cette institution dédiée au développement du continent.<br />
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Ainsi, la résolution des problèmes d’<a href="http://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/environnement/energie/">énergie</a> occupe, avec la transformation de l’<a href="http://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/agriculture/">agricultur</a>e, une place centrale parmi ses préoccupations ; parce que, dit-il, "l’électricité est comme le sang dans le corps ; s’il n’y a pas de sang, rien ne marche".<br />
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Et compte tenu du potentiel du continent en énergie solaire, hydroélectrique, éolienne et géothermique qu’il maîtrise très bien, il pense que le défi de la fourniture de l’énergie à tous les Africains peut être relevé d’ici 2025.<br />
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Il convient de rappeler au passage que les statistiques les plus optimistes situent à environ 650 millions le nombre d’Africains qui n’ont pas accès à l’électricité.<br />
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Dans cet entretien accordé à <em>SciDev.Net</em>, Akinwumi A. Adesina  explique comment la BAD entend contribuer à les faire passer des ténèbres à la lumière.</p>
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Nouvellement arrivé à la tête de la Banque africaine de développement (BAD) où il a pris fonction en septembre dernier, le Nigérian Akinwumi A. Adesina a d’ores et déjà annoncé les couleurs de ce qui va être sa priorité à la tête de cette institution dédiée au développement du continent.

Ainsi, la résolution des problèmes d’énergie occupe, avec la transformation de l’agriculture, une place centrale parmi ses préoccupations ; parce que, dit-il, "l’électricité est comme le sang dans le corps ; s’il n’y a pas de sang, rien ne marche".

Et compte tenu du potentiel du continent en énergie solaire, hydroélectrique, éolienne et géothermique qu’il maîtrise très bien, il pense que le défi de la fourniture de l’énergie à tous les Africains peut être relevé d’ici 2025.

Il convient de rappeler au passage que les statistiques les plus optimistes situent à environ 650 millions le nombre d’Africains qui n’ont pas accès à l’électricité.

Dans cet entretien accordé à SciDev.Net, Akinwumi A. Adesina explique comment la BAD entend contribuer à les faire passer des ténèbres à la lumière.