23/12/18

Les articles les plus populaires de 2018

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Photo-montage sur l'activité scientifique en Afrique - Crédit image: SDN

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En cette fin d'année, nous vous proposons le Top 10 des articles les plus lus sur le site de l'édition de langue française de SciDev.Net pour le compte de l'année 2018.

Ces articles couvrent diverses thématiques, de la santé à la technologie. Le classement s'établit comme suit, du plus populaire au moins populaire : 


La podoconiose répandue au Cameroun et en Éthiopie

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La podoconiose répandue au Cameroun et en Éthiopie

Deux études montrent que la podoconiose, une maladie qui affecte les communautés agricoles, est répandue au Cameroun et en Éthiopie.

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La podoconiose répandue au Cameroun et en Éthiopie

Deux études montrent que l'éléphantiasis liée à l'exposition des pieds nus au sol argileux rouge des roches volcaniques est largement répandue au Cameroun et en Ethiopie. Au Cameroun, une étude publiée en janvier dans la revue PLOS Neglected Tropical Disease montre une faible prévalence de la maladie – aussi appelée podoconiose, en raison de sa tendance à gonfler massivement les pieds et les jambes -, mais avec une distribution géographique étendue à travers le pays. L'étude éthiopienne publiée dans le Wellcome Open Research du 15 décembre 2017 a pour sa part révélé que la podoconiose est endémique dans 345 districts (weredas).

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Stigmatisation et ignorance persistent, 35 ans après la découverte du VIH/Sida

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Stigmatisation et ignorance persistent, 35 ans après la découverte du VIH/Sida

Le 23 janvier 1983, le Dr Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur de Paris, identifie pour la première fois le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) comme la cause du sida, une maladie rare parmi les hommes homosexuels.

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Stigmatisation et ignorance persistent, 35 ans après la découverte du VIH/Sida

Le 23 janvier 1983, le Dr Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur de Paris, identifie pour la première fois le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) comme la cause du sida, une maladie rare parmi les hommes homosexuels. Pourtant, le sens de ces trois lettres a évolué vers une assertion très différente au cours des 35 dernières années. Aujourd'hui, les gens peuvent vivre avec le VIH, la connaissance de la maladie s'est considérablement améliorée et un enfant peut naître d'une mère séropositive, sans être contaminé par le virus.

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Crise au Cames : les raisons de la grogne

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Crise au Cames : les raisons de la colère des universitaires

Deux universitaires africains accusent le CAMES d'entraver la recherche scientifique en Afrique sub-saharienne

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Crise au Cames : les raisons de la colère des universitaires

Créé en 1968 à Niamey, le Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement supérieur (CAMES) était, jusqu'à un récent passé, la référence de facto en matière d'enseignement supérieur en Afrique francophone. Cinquante ans plus tard, cette organisation semble structurellement à bout de souffle, en raison de l'incapacité des États membres à la réformer en profondeur et à en faire un outil d'intégration viable pour la mise en œuvre d'une politique de recherche scientifique faisant autorité. C'est donc sans grande surprise qu'en cette année de jubilé, plusieurs voix se sont élevées pour appeler à faire bouger les lignes. Deux ouvrages, l'un de l'historien Chikouna Cissé, maître de Conférences en histoire moderne et contemporaine à l’Université Houphouët Boigny d'Abidjan-Cocody (Le CAMES 1968 – 2018 : un demi-siècle au service de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en Afrique) ; l'autre, Le Cames, une nébuleuse qui entrave l’essor du Bénin et de l’Afrique, du duo d'enseignants béninois, Mohamed Chérif-Deen Rahimy et Oladé Okunlola Moïse Lalèyè, se sont illustrés dans ce concert de laudateurs et de pourfendeurs.

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Mohamed Chérif-Deen Rahimy, enseignant chercheur à l'Université d'Abomey-Calavi, au Bénin

 

Moïse Lalèyè, enseignant chercheur à l'Université d'Abomey-Calavi, au Bénin

 



Faveurs sexuelles contre notes : l’autre forme de corruption

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Faveurs sexuelles contre notes : l’autre forme de corruption

Bien qu'il fasse l'objet de moult tabous, le phénomène porte les germes d'une déstructuration des systèmes éducatifs et risque de saper les bases du développement.

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Faveurs sexuelles contre notes : l’autre forme de corruption

A l'occasion de la Journée africaine de lutte contre la corruption, observée à l'initiative de l'Union Africaine, SciDev.Net vous propose une série d'articles sur la corruption dans les systèmes éducatifs africains. Dans cette deuxième livraison, Bilal Taïrou s'intéresse à la question sensible du harcèlement sexuel, qui se manifeste par le principe des "bonnes notes contre faveurs sexuelles", face cachée d'une forme de corruption répandue dans les établissements d'enseignement supérieur du continent…

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Imane Raji, étudiante marocaine à Dakar, témoigne.

 



Rhumatisme : la solution des plantes, comme le gingembre

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Rhumatisme : la solution des plantes, comme le gingembre

La chercheure algérienne Amel Bouzabata énumère quelques plantes à même d’apporter des réponses aux multiples formes des maladies des articulations.

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Rhumatisme : la solution des plantes, comme le gingembre

Actuellement, quelques espèces médicinales sont connues pour leurs effets anti-inflammatoires, car elles inhibent la production de médiateurs pro-inflammatoires. Nous citons cinq espèces très utilisées pour le traitement naturel des rhumatismes: la griffe du diable (Harpagophytum procumbens Burch.), le curcuma (Curcuma longa L.), le gingembre (Zingiber officinale Roscoe), la reine des près (Filipendula ulmariae (L.) Maxim.), et le saule blanc (Salix alba L.).

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Podcast : L'actualité scientifique en Afrique

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Première édition de Science et Développement, le magazine scientifique de SciDev.Net

Dans une première, SciDev.Net et ses partenaires se sont associés pour la diffusion d'un magazine scientifique africain, réalisé par des Africains.

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Podcast : L'actualité scientifique en Afrique, entre Ébola et WhatsApp

Dans cette édition, nous vous proposons un point scientifique sur l'épidémie d'Ébola en République démocratique du Congo, un reportage sur la popularité de la plateforme de messagerie WhatsApp sur le continent, ainsi que les tentatives de taxation par les États et les gouvernements. Science et Développement vous propose aussi l'éclairage du chercheur sénégalais Cheikh Sokhna sur l'éradication du paludisme, avec un accent sur le non-sens scientifique de la sorcellerie, une idée répandue dans certaines régions de l'Afrique, où les communautés établissent un lien entre la maladie et le mysticisme.

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Episode No 1

Ecoutez la première édition de Science et Développement, le programme radiophonique de SciDev.Net.

 

 



Les mégadonnées, outil de résilience des entreprises

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Les mégadonnées, outil de résilience des entreprises

Des experts en informatique et en nouvelles technologies de l'information appellent les Africains à initier une révolution des données, pour assurer leur survie dans la jungle technologique du XXIe siècle.

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Les mégadonnées, outil de résilience des entreprises

Des experts réunis lors du Salon international des professionnels de l’économie numérique (SIPEN) [1] à Dakar, appellent les gouvernements africains à créer une masse critique de spécialistes en science des données, pour préparer le contient à faire face à l'une des plus grandes révolutions du XXIe siècle. En marge de la troisième édition du SIPEN, qui s’est tenue les 13 et 14 février, des experts africains en nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) ont axé leurs discussions sur les mégadonnées (big data) et les opportunités inouïes qu’elles offrent aux entreprises africaines.

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La robotique au service de la circulation routière en RDC

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La robotique au service de la circulation routière en RDC

La Congolaise Thérèse Kirongozi, inventrice des robots policiers de Kinshasa, a reçu le Prix de l'Innovation 2017-2018, lors de la cérémonie des WorldSafe Awards, à Atlanta, aux Etats-Unis, pour son implication active dans la sécurité routière en République démocratique du Congo.

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La robotique au service de la circulation routière en RDC

La Congolaise Thérèse Kirongozi, inventrice des robots policiers de Kinshasa, a reçu le Prix de l'Innovation 2017-2018, lors de la cérémonie des WorldSafe Awards, à Atlanta, aux Etats-Unis, pour son implication active dans la sécurité routière en République démocratique du Congo. Propriétaire de "Planète J", une chaîne de restaurants célèbres de Kinshasa, Thérèse Kirongozi est aujourd'hui davantage connue pour l'invention du premier "robot roulage intelligent" du pays. Formée à l'Institut Supérieur des Techniques Appliqués (ISTA) de Kinshasa, cette ingénieure en électronique industrielle est passionnée de science et de technologie. Ses robots, mis en circulation pour la première fois en 2013, permettent une surveillance et une régulation plus rigoureuses de la circulation routière et, partant, la réduction des accidents.

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Thérèse Kirongozi, inventrice des robots policiers de Kinshasa

 



Dix-sept morts dans une épidémie d’Ébola en RDC

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Dix-sept morts dans une épidémie d’Ébola en RDC

La RDC est en proie à sa neuvième épidémie d’Ébola, déclarée dans une localité non loin de la frontière congolaise.

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Dix-sept morts dans une épidémie d’Ébola en RDC

L’épidémie d’Ébola qui sévit dans la localité de Bikoro, sur les rives du lac Tumba, dans le nord-ouest de la République démocratique du Congo (RDC), a fait à ce jour 17 victimes, selon le ministère congolais de la Santé. La maladie s’est déclarée dans une zone forestière située dans la province de l’Équateur.

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Cameroun : une start-up démystifie l’usage des drones civils

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Cameroun : une start-up démystifie l’usage des drones civils

Sous la houlette de William Elong, 25 ans, Drone Africa fabrique des drones qui, entre autres, permettent de pratiquer une agriculture de précision.

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Cameroun : une start-up démystifie l’usage des drones civils

"Notre principale difficulté, comme c'est le cas pour toute jeune entreprise, c'est le besoin de capitaux". En se confiant ainsi à SciDev.Net, William Elong, le directeur général de Will & Brothers réitère une préoccupation qu'il avait déjà exprimée en février dernier à l'occasion de la présentation officielle des drones "made in Cameroon" au gouvernement camerounais. A cette occasion, il avait en effet martelé que la start-up avait besoin de deux millions de dollars (un milliard de FCFA) de financements pour pénétrer les marchés européen et américain, afin de rivaliser à armes égales avec les grands fabricants occidentaux, avec pour ambition affichée de devenir "l'une des meilleures du monde". Pour cela, son équipe travaille d'arrache-pied et l'ambiance studieuse de cette salle rappelle celle des grandes firmes où les travailleurs sont tellement absorbés par leurs tâches qu’ils ne voient pas entrer le visiteur.

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