Comment rendre les think tanks africains plus efficaces?

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<h1>Comment rendre les think tanks africains plus efficaces?</h1>
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Dans ce palmarès, il apparaît que le premier <em>think tank</em> en Afrique subsaharienne est le Codesria (Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique).<br />
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Un total de 94 <em>think tanks</em> opérant en Afrique subsaharienne ont été pris en compte dans ce classement, dont 16 seulement viennent de l’Afrique francophone : Sénégal (4), Côte d’Ivoire (3), Burkina Faso (3), Mali (2), Madagascar (1), Togo (1), Congo (1) et Cameroun (1).Mais pour Ebrima Sall, le secrétaire exécutif du Codesria, "plus que le nombre, c’est la qualité qu’il nous faut, en Afrique francophone et ailleurs sur le continent."<br />
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"L’un des grands défis est de trouver un mécanisme de <a href="http://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/entreprise/financements/">financement</a> pour permettre aux <em>think tanks</em> de fonctionner".<br />
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Ebrima Sall regrette au passage que "beaucoup de <em>think tanks</em> africains dépendent de financements venant de l’extérieur".<br />
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Quelles autres conditions faudrait-il réunir, à votre avis, pour rendre les <em>think tanks</em> plus audibles en Afrique subsaharienne francophone ?<br />
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Le 26 janvier dernier, l’université de Pennsylvanie aux Etats-Unis a publié son traditionnel classement annuel des think tanks à travers le monde.

Dans ce palmarès, il apparaît que le premier think tank en Afrique subsaharienne est le Codesria (Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique).

Un total de 94 think tanks opérant en Afrique subsaharienne ont été pris en compte dans ce classement, dont 16 seulement viennent de l’Afrique francophone : Sénégal (4), Côte d’Ivoire (3), Burkina Faso (3), Mali (2), Madagascar (1), Togo (1), Congo (1) et Cameroun (1).Mais pour Ebrima Sall, le secrétaire exécutif du Codesria, "plus que le nombre, c’est la qualité qu’il nous faut, en Afrique francophone et ailleurs sur le continent."

"L’un des grands défis est de trouver un mécanisme de financement pour permettre aux think tanks de fonctionner".

Ebrima Sall regrette au passage que "beaucoup de think tanks africains dépendent de financements venant de l’extérieur".

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Quelles autres conditions faudrait-il réunir, à votre avis, pour rendre les think tanks plus audibles en Afrique subsaharienne francophone ?

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